note
| - Paris : 1818-1840 ; Galerie de bois du Palais-Royal (, n° 197 ; n° 14 et n° 133 ; n° 195) ; Quai Malaquais, n° 23 ; Rue Chabanais, n° 2
- De sept. 1824 à déc. 1828, travaille en société avec Augustin-Pierre Dufey, qui sera breveté libraire en mai 1829
- À nouveau en faillite en août 1840, doit quitter la librairie. Se tourne alors vers le négoce des modes puis des objets d'art. Décédé à l'hôpital Saint-Louis. Inventaire ap. décès 25 sept. 1854. Rédacteur d'un avis \"Au public\" (1836) et d'un prospectus pour un almanach militaire de 1820
- Condamné à une amende en oct. 1821, finit par se mettre en règle ; breveté libraire le 13 déc. 1821. Fastueux, il est l'un des grands éditeurs des romantiques, dépeint par Balzac sous les traits de Dauriat dans \"Illusions perdues\". En juin 1829 cependant, doit vendre son fonds à sa femme et au libraire Malo pour éviter une première fois la faillite. Mis néanmoins en faillite en janv. 1832 puis fév. 1834. Perd plusieurs procès dont celui des Mémoires de la duchesse d'Abrantès (mai 1833). Durement affecté par l'incendie de ses magasins de la rue du Pot-de-Fer en déc. 1835
- Variante(s) de prénom : Pierre-François dit Camille ; Pierre-François-Camille. Libraire et éditeur ; libraire de S. A. R. monseigneur le duc de Chartres (1822). Natif de Caudebec-en-Caux, fils d'un architecte et \"entrepreneur de travaux\" du Havre. Monte très jeune à Paris où on le trouve en oct. 1813 s'occupant d'édition théâtrale. Épouse en mars 1817, sous le régime de la séparation de biens, la libraire Constance-Sophie Aubé, divorcée de Jacques Courtois, et propriétaire d'un cabinet littéraire au Palais-Royal dont il est au début l'employé. Exerce ensuite (dès sept. 1818) sous son nom sans brevet
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