note
| - La 4e de couverture indique : \"La révolution industrielle a tout bousculé. Elle a imprimé à la société son mouvement : standardisation, interdépendance et équivalence mécanique de tout. L'avènement de \"l'homme-machine\" emporte les plus lourdes conséquences. Parce que le consentement populaire n'est plus désormais de mise, les liens du sang, les allégeances nationales ou religieuses sont soudain vidés de toute substance. Le concept de \" nation \" est lui-même menacé. Plus encore : certains droits naturels, dont l'inaliénable droit de propriété, sont abandonnés. De là, Veblen diagnostique \" le déclin naturel de l'entreprise d'affaires\". \"Son tour de force, c'est d'avoir fait accéder l'économie à un stade supérieur d'intelligence, parce qu'il traitait en philosophe, en anthropologue et même en ethnologue la nature profonde du sujet économique. Au lieu de prendre au sérieux les intentions affichées de ce dernier, il décodait sa conduite, ses usages et ses rites.\"
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