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type
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Praeses
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Author
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dc:subject
| - Thèses et écrits académiques
- Ostéosynthèse -- Technique
- Plaques vissées
- Calcanéus -- Fractures -- Chirurgie
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preferred label
| - De l'ostéosynthèse des fractures thalamiques du calcanéum par la plaque vissée 1/3 de tube de l'instrumentation AO, à propos d'une série continue de 59 ostéosynthèses
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Language
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Subject
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dc:title
| - De l'ostéosynthèse des fractures thalamiques du calcanéum par la plaque vissée 1/3 de tube de l'instrumentation AO, à propos d'une série continue de 59 ostéosynthèses
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Degree granting institution
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note
| - Au terme de cette étude, l’ostéosynthèse des fractures thalamiques de calcanéum par plaque vissée « 1/3 de tube » de l’instrumentation AO apparaît donc comme le traitement de choix dans les fractures type III et IV où elle contribue à obtenir 3/4 de très bons résultats. Pourquoi s’abstenir – comme le font certains – de traitement chirurgical, en ne voulant pas réduire les enfoncements thalamiques ? De même qu’il nous parait illogique de traiter les fractures des plateaux tibiaux par la traction-mobilisation pure, sans réduire au préalable ces fractures sous la contrôle de la vue – quitte à utiliser la traction-mobilisation une fois la fracture réduite et synthésée-, de même il nous parait illogique de traiter les fractures du calcanéum avec enfoncement thalamique par la méthode fonctionnelle pure. En revanche, comme pour les fractures des plateaux tibiaux, il nous paraît très utile d’appliquer la méthode fonctionnelle sur un calcanéum au thalamus relevé, et solidement reconstruit par une plaque vissée. Ce traitement mobilisateur permettra de récupérer dans la majorité des cas une articulation sous-astragalienne satisfaisante... satisfaisante ne voulant pas dire normale : un certain degré d’enraidissement est en effet extrêmement fréquent, mais cet enraidissement est bien moins gênant que l’ankylose donnée par l’arthrodèse d’emblée. Cette dernière peut être l’ultime ressource... mais soulignons que nous n’avons eu à pratiquer qu’une seule arthrodèse secondaire, ce qui montre bien qu’il aurait été dommage de supprimer, d’emblée et par principe, la sous-astragalienne dans les 58 autres cas... En effet, dans les quelques cas où la reconstruction articulaire n’aura pas pu être parfaite (elle est très difficile voire impossible dans certaines comminutions thalamiques...), dans les rares cas où des détériorations secondaires se seront produites (enfoncements secondaires lors d’un appui trop précoce...), ou dans les très rares cas où les lésions cartilagineuses thalamiques auront évolué pour leur propre compte (de la chondromalacie à l’arthrose...), on se trouvera ainsi parfois confronté à une articulation sous-astragalienne pathologique... Cette arthrose sous-astragalienne post-traumatique est assez souvent régressive cliniquement, parallèlement à l’installation d’un enraidissement qui la rend presque indolore... avec au maximum une ankylose spontanée... Si exceptionnellement on se trouve amené à réaliser une arthrodèse secondaire sur une articulation douloureuse et encore mobile, il sera particulièrement aisé de l’effectuer sur un calcanéum déjà reconstruit, et non pas sur un cal vicieux global, triste rançon de certains autres procédés...
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