Attributes | Values |
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Thesis advisor
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Author
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alternative label
| - Dispositions, capacities and norms, a critical analysis of normativist accounts of intentional content and their implication for epistemology
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dc:subject
| - Concepts
- Épistémologie
- Thèses et écrits académiques
- Norme (morale)
- Philosophie de l'esprit
- action
- Notion (linguistique)
- sens
- rationalité
- autorisation épistémique
- concepts
- fonctions
- justification épistémique
- normativité
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preferred label
| - Dispositions, capacités, et normes, une analyse critique des conceptions normativistes du contenu intentionnel et de leurs implications en épistémologie
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Language
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Subject
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dc:title
| - Dispositions, capacités, et normes, une analyse critique des conceptions normativistes du contenu intentionnel et de leurs implications en épistémologie
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Degree granting institution
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note
| - One of the most important debates in contemporary philosophy of mind is the debate concerning the normativity of intentional content. This debate was inaugurated by Kripke's attack against the dispositionalist accounts of meaning (Kripke, 1982). According to Kripke, the relation of meaning to the use of linguistic expressions is not descriptive, but normative. These normativist ideas have also been applied to intentional content. However, the normativity of intentional content seems to imply the impossibility of acquiring a full understanding of the nature of the content of our propositional attitudes by means of a simple description of the dispositions we manifest when we apply our concepts. For some philosophers, what that shows is the impossibility of naturalizing the mind. Normativity has also been exploited by philosophers that are hostile to the project of naturalizing epistemology. According to them, the simple description of our cognitive processes cannot contribut to the identification of the normative criteria in virtue of which a belief can be considered as being justified. Therefore, they affirm that a consequence of the normativity of justification is the impossibility of naturalizing epistemology. Our aim in this work is to refute the normativist accounts. Our linguistic and conceptual capacities should not be assimilated to dispositions, but what distinguishes these capacities from mere dispositions is not something normative. We distinguish then between the manifestation of dispositions, the exercise of capacities, and the observation of norms. The rejection of normativist ideas enables us to reject the impossibility of naturalizing the mind, but also some conceptions of epistemic entitlement based on these ideas. Finally, we propose a conception of epistemic entitlement that offers a solution to the problem of naturalizing epistemology
- Un des débats centraux de la philosophie de l'esprit contemporaine est le débat sur la normativité du contenu intentionnel. A l'origine de ce débat se trouve l'attaque de Kripke (1982) contre les conceptions dispositionalistes du sens. Selon Kripke, le rapport entre le sens des expressions linguistiques et l'emploi de ces expressions n'est pas descriptif, mais normatif Les idées normativistes ont également été appliquées au contenu intentionnel. La normativité du contenu intentionnel semble cependant impliquer l'impossibilité d'atteindre une compréhension pleine de la nature du contenu de nos attitudes propositionnelles à partir de la simple description des dispositions que nous manifestons lors de l'application de nos concepts. Pour certains philosophes, cela montre l'impossibilité de naturaliser l'esprit. La notion de normativité a également été exploitée par les philosophes hostiles au projet d'une épistémologie naturalisée. Selon eux, la simple description de nos processus cognitifs ne permet pas d'identifier les critères normatifs en vertu desquels une croyance peut être considérée comme justifiée. Ils affirment donc que la normativité de la justification implique l'impossibilité de naturaliser l'épistémologie. Dans ce travail, nous nous proposons de réfuter les idées normativistes. Nos capacités linguistiques et conceptuelles ne doivent pas être assimilées à des dispositions, mais l'élément qui distingue ces capacités des dispositions n'est pas de nature normative. Nous distinguons ainsi entre la manifestation de dispositions, l'exercice de capacités, et l'observation de normes. En rejetant les idées normativistes, nous rejetons l'impossibilité de naturaliser l'esprit, mais aussi certaines conceptions de l'autorisation épistémique (entitlement) basées sur ces idées. Finalement, nous formulons une conception de l'autorisation e��pistémique qui apporte une réponse au problème de la naturalisation de l'épistémologie
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