Attributes | Values |
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type
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Thesis advisor
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Praeses
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Author
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dc:subject
| - Charente-Maritime
- Charente-Maritime (France)
- Adolescents
- Thèses et écrits académiques
- adolescent
- connaissances
- Études transversales
- Contraception -- Enquêtes
- contraception
- croyances
- enquête descriptive transversale
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preferred label
| - État des lieux des connaissances et habitudes contraceptives des lycéens, enquête auprès de 126 lycéens de Rochefort sur Mer
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Language
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Subject
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dc:title
| - État des lieux des connaissances et habitudes contraceptives des lycéens, enquête auprès de 126 lycéens de Rochefort sur Mer
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Degree granting institution
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Opponent
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note
| - Contexte : La France est dans une situation paradoxale : elle possède un taux de couverture contraceptive et d'accessibilité à la contraception parmi les plus importants d'Europe, mais le taux d'IVG chez les mineures reste stable. Objectifs : Évaluation des habitudes et connaissances en matière de contraception des lycéens. Identification des freins à l'utilisation optimale d'un moyen contraceptif et propositions pour améliorer l'information des jeunes. Méthode : Enquête descriptive transversale réalisée de mai à juin 2014 auprès de lycéens de Rochefort sur Mer qui aborde les habitudes contraceptives, les connaissances en physiologie de la reproduction et sur la contraception via un questionnaire anonyme. Résultats : 126 lycéens ont été interrogés. Les parents sont leur première source d'information sur la contraception (cités par 56 % des élèves). Le médecin généraliste est cité par 35 % des jeunes. On retrouve 30 % de réponses justes aux questions sur la physiologie. Les connaissances sur le préservatif sont maitrisées par 71 % des élèves. De fausses croyances persistent concernant les effets de la pilule et son utilisation : 61 % des filles ne savent pas qu'elles sont protégées entre deux plaquettes. Elles sont 45 % à penser qu'un examen gynécologique est obligatoire avant la prescription. Les délais de prise de la contraception d'urgence ne sont pas maitrisés (19 % de réponses justes) et les moyens d'accès sont mal connus : 50 % des lycéens ignorent qu'elle est disponible gratuitement chez le pharmacien et l'infirmière scolaire. Le DIU est peu connu des jeunes : 37 % de réponses justes et 40 % de « ne sais pas ». Conclusion : Malgré l'amélioration de l'accessibilité à la contraception, les connaissances restent insuffisantes. Les actions préventives devraient être renforcées en majorant l'information sur tous les aspects de la sexualité par le biais, entre autres, des médecins généralistes.
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