Attributes | Values |
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type
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Thesis advisor
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Praeses
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Author
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alternative label
| - Exiles, languages and generations, a psychopathology of subjective inventions, standing for a clinical approach of the social link
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dc:subject
| - Langues étrangères
- Générations
- Exils
- Thèses et écrits académiques
- Immigrés -- Psychologie
- Exil -- Psychologie
- Exilés -- psychologie
- Invention de destin
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preferred label
| - Exils, langues et générations, psychopathologie des inventions subjectives, pour une clinique du lien social contemporain
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Language
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Subject
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dc:title
| - Exils, langues et générations, psychopathologie des inventions subjectives, pour une clinique du lien social contemporain
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Degree granting institution
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note
| - « Exile » is presented in literature as an awful experience where the subject cries desperately after the lost object. Freudian psycho-analysis shows how important it is for the infant to get exiled from the primordial Wohl. The Lacanian definition of « exile » suggests to talk about « exiles », a plural, i.e as a structural disharmony. We have, therefore, wanted to examine the relationship between « exile », foreign langage » and their function for a foreign patient. The other side of our work is to examine the effects of exile upon the next generations. Actually, the main question is in what way both exile and foreign langage are symptoms when the father’s function is inefficient. We have based our everyday work with foreign patients upon a clinical approach which respects the psychic structure, the symptom and the various solutions or subjective inventions looking for a place in this world among men.Key words
- Les perspectives dites des « cliniques de l’exil » se présentent souvent, dans la littérature psychopathologique et clinique, comme une clinique de ce qui a été perdu, dont le sujet se voit séparé de force. Une clinique de l’objet perdu donc, perçu comme manque ; cette perte est le plus souvent posée comme douloureuse et pensée comme détermination d’un état mélancolique. Or la clinique freudienne de l’objet perdu insiste sur sa construction, son avènement comme toujours déjà perdu et invite à saisir l’exil comme modalité de la séparation d’avec le Wohl primordial. C’est une séparation nécessaire pour advenir comme sujet de l’énonciation. Lacan pointe pour sa part une logique des exils au pluriel. Nos patients d’origine « étrangère » indiquent comment l’exil et le recours à une langue étrangère sont élevés au rang de symptôme et donc à accueillir et soutenir en clinique. Cette clinique « de la vie quotidienne » enseigne que l’exil implique la question de la filiation. Se pose ainsi la question du père. De la tuchè du père, quel automaton ou quelles inventions subjectives pour trouver une place dans le monde ? Cette clinique nous ouvre à des considérations qui nous font relire la littérature de manière renouvelée et repenser la « clinique de l’exil » en « clinique de l’exilé ».
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http://iflastandar...bd/elements/P1001
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