| Attributes | Values |
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| type
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| Author
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| dc:subject
| - Troubles de la miction
- Thèses et écrits académiques
- Qualité de la vie
- Bronchopneumopathies obstructives
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| preferred label
| - Identification de facteurs de risque spécifiques à la survenue d'une incontinence urinaire chez une population BPCO
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| Language
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| Subject
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| dc:title
| - Identification de facteurs de risque spécifiques à la survenue d'une incontinence urinaire chez une population BPCO
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| Degree granting institution
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| note
| - L'incontinence urinaire est un enjeu de santé publique. Sa prévalence est importante dans la population générale et augmente dans une population BPCO. Elle peut avoir des conséquences négatives sur la rééducation respiratoire du patient BPCO mais aussi sur sa qualité de vie. Ainsi, les kinésithérapeutes traitant leur pathologie respiratoire doivent pouvoir mettre en évidence une éventuelle incontinence urinaire. Quels sont les facteurs de risque de l'incontinence urinaire chez le patient BPCO ? L'incontinence urinaire est-elle une préoccupation partagée ? Pour répondre à la problématique, nous avons mené une étude prospective et qualitative qui utilise comme moyen d'enquête un questionnaire que nous avons construit. Il s'agit d'une étude préliminaire. La population se compose de patients avec une BPCO diagnostiquée et traitée dans différents centres de kinésithérapie respiratoire de la région lyonnaise. Au total, nous avons récupéré vingt questionnaires dont seulement douze étaient complets. Les résultats sont à prendre avec une grande précaution en raison du faible nombre de sujets et le fait que le questionnaire ne soit pas validé scientifiquement. Cependant, nous pouvons faire quelques remarques. Concernant les facteurs de risque de l'incontinence urinaire dans notre échantillon de patients BPCO, l'âge, le sexe, la multiparité, une baisse du débit de pointe à la toux (DPT) et une baisse du volume expiratoire maximal par seconde (VEMS) semblent être en faveur de la présence d'une incontinence urinaire. Concernant la communication entre le binôme patient-thérapeute, il en ressort que deux patients sur les quatre incontinents ont fait part de cette incontinence à leur kinésithérapeute. Et, aux dires des patients, seulement trois kinésithérapeutes sur les onze les avaient interrogés sur la présence éventuelle d'une incontinence urinaire. Ces éléments sont à prendre avec précaution. De nombreux biais existent tels que le nombre d'inclusions, les caractéristiques de la population et le questionnaire utilisé. Nous pouvons nous demander quels éléments interviennent dans le choix du patient de communiquer ou non avec son thérapeute. A propos de la relation patient-kinésithérapeute, nous pouvons supposer que la relation de confiance au sein du binôme joue un rôle dans le choix du patient à se livrer à son thérapeute. Les patients doivent être pris en soin dans leur globalité selon un modèle biospychosocial. Ceci permettrait au professionnel de santé de pouvoir ajuster son plan thérapeutique. L'incontinence urinaire est une mesure importante à prendre en compte dans la prise en soin d'un patient BPCO en termes de prévention, de mise en évidence et d'adaptation du plan de traitement. Ils doivent également pouvoir réorienter les patients et travailler en interdisciplinarité
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