Attributes | Values |
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type
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Thesis advisor
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Author
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alternative label
| - Financial intermediation, business cycles and regulation of economics
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dc:subject
| - Thèses et écrits académiques
- Régulation, Théorie de la
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preferred label
| - Intermédiation financière, fluctuations cycliques et régulation de l'économie
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Language
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Subject
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dc:title
| - Intermédiation financière, fluctuations cycliques et régulation de l'économie
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Degree granting institution
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note
| - Cette thèse est consacrée à l'étude des relations entre le système financier d'une économie et son évolution réelle. Elle étudie, plus précisément, le rôle de l'intermédiation financière dans certains mécanismes macroéconomiques, c'est-à-dire les implications de cette dernière sur les fluctuations cycliques réelles. Sur le marché du prêt, l'existence d'asymétries d'information entre emprunteurs et préteurs est source de conflits. Celles-ci spécifient, en général, que les préteurs se trouvent moins informes sur la qualité des emprunteurs ainsi que sur celle de leurs projets. De plus, elle permet de fournir une justification théorique au concept du rationnement du crédit compatible avec l'approche en termes de contrat optimal. Le contrat redigé entre les emprunteurs et les préteurs stipule que les décisions optimales des deux contractants peuvent faire apparaitre, à l'équilibre, des situations de rationnement du crédit. Celui-ci précise, soit que tous les emprunteurs reçoivent un crédit inferieur à ce qu'ils ont souhaité emprunter, soit que certains emprunteurs non distinguables des autres sont exclus du marché. En outre, l'asymétrie d'information sur le marché du crédit et le caractère coûteux du contrôle de l'annonce de l'emprunteur justifient la légitimité de l'intermédiation financière par rapport à la situation du financement direct. Par ailleurs, le coût de contrôle a un impact plus important sur les fluctuations économiques en période de récession qu'en période de prospérité. De plus, il est à l'origine d'une distorsion au niveau de l'économie, qui se traduit par une perte du bien-être social. Cependant, l'équilibre obtenu est non optimal au sens de Pareto. La perte de surplus social nécessite l'intervention des autorités publiques. Dans cette perspective, la banque centrale apparait comme l'organisme public le plus apte à jouer la fonction de régulateur. Celle-ci emploie les instruments standards de politique monétaire, afin d'optimiser l'utilité sociale. Par conséquent, le meilleur équilibre dans l'ensemble des états qui se révèlent effectivement accessibles, est néanmoins, un \"optimum de second rang\".
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http://iflastandar...bd/elements/P1001
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