About: Applications cliniques des CVI en odontologie conservatrice et en prothèses   Goto Sponge  NotDistinct  Permalink

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  • Thèses et écrits académiques
  • Orthodontie -- Appareils et matériel
  • Résines composites -- Dissertation universitaire
  • Protocoles cliniques
  • Adhésifs dentaires
  • Ciments dentaires
  • Ciment ionomère au verre -- Dissertation universitaire
preferred label
  • Applications cliniques des CVI en odontologie conservatrice et en prothèses
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Subject
dc:title
  • Applications cliniques des CVI en odontologie conservatrice et en prothèses
Degree granting institution
note
  • Les ciments verres ionomères sont des matériaux de plus en plus adoptés par les praticiens, dans les domaines d'odontologie conservatrice, de prothèses conjointes et implantaires. Cependant, il est nécessaire de connaître leurs propriétés (physique, chimique, biologique) afin de comprendre leur adhésion dentaire, leur pouvoir cariostatique notamment par relargage de fluor, ainsi que leur protocole de pose. Ces matériaux sont sensibles à leur environnement, plus particulièrement en milieu hydrique. L'insertion d'une matrice résineuse (CVIMAR, compomère) améliore leur dureté mais complique souvent le protocole de pose (préparation dentinaire, adhésif, incréments fins, photopolymérisation) et nous rapproche de celui des composites. En odontologie conservatrice, ces matériaux sont bien indiqués chez les enfants peu coopérants présentant une mauvaise hygiène buccale, pour qui le temps d'action et le champ opératoire sont limités, en limitant les reprises de caries. Chez l'adulte, ils sont utiles dans certaines circonstances (patient polycarié, âgé, dépendance, etc). Leur faible résistance à la compression limite l'utilisation de ces matériaux dans des zones soumises à de fortes contraintes occlusales, et leur inesthétisme n'est pas en faveur des reconstitutions antérieures. Enfin, il est recommandé de protéger le verre ionomère par un vernis le temps de sa prise complète pour éviter une absorption hydrique importante. En prothèses, les C.V.I répondent positivement au cahier des charges d'un ciment de scellement (faible épaisseur de joint, biocompatibilité, radio-opacité, facilité de manipulation). Cependant, leur étanchéité est limitée par leur solubilité élevée dans les fluides buccaux, ce qui nécessite l'utilisation de vernis au niveau du joint dento-prothétique. Ces ciments ne détrônent pas ceux à base de phosphate de zinc qui présentent des résultats corrects et bénéficient d'un recul clinique intéressant. Enfin, les résines tendent à dépasser tous les autres ciments de scellement concernant les micro-infiltrations marginales, la protection de la superstructure à la fracture, la résistance aux contraintes mécaniques du ciment, la rétention.
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  • Text
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  • 2011
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