Attributes | Values |
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type
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Thesis advisor
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Author
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alternative label
| - The liberty of the transcendental imagination in Kant's criticism
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dc:subject
| - Imagination (philosophie)
- Thèses et écrits académiques
- Philosophie transcendantale
- Criticisme
- Kant, Immanuel (1724-1804) -- Imagination
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preferred label
| - La liberté de l'imagination transcendantale dans le criticisme kantien
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Language
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Subject
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dc:title
| - La liberté de l'imagination transcendantale dans le criticisme kantien
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Degree granting institution
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note
| - La déduction transcendantale, qui est à la fois la partie la plus difficile de la Critique de la raison pure et son centre, fut l'axe essentiel des études kantiennes au début du siècle, avec notamment les travaux de Cohen, Adickes, Arnoldt, Vaihinger, de Vleeschauwer et Heidegger. Cet effort interprétatif sans précèdent a pris fin dans les années trente sur un constat d'échec : l'impossibilité de proposer une interprétation unifiée de la déduction transcendantale dans les deux éditions de 1781 et 1787. Notre travail reprend le problème là où il fut laissé. A travers l'étude de l'antinomie interprétative entre Cohen et Heidegger, nous tentons de dégager une unité logique de la déduction, au prix toutefois de la reconnaissance de l'inachèvement de son argumentation dans le cadre de la critique de la raison pure. Le problème de l'achèvement de la déduction devient alors la question-clé de notre interprétation. Nous en cherchons la réponse dans une lecture transcendantale de la première partie de la critique de la faculté de juger, qui met à jour le parallélisme strict de son plan avec celui de la déduction subjective de 1781, et se termine sur une aporie au sein de la théorie kantienne du génie. Nous concluons sur l'idée d'une solution possible au problème de l'achèvement de la déduction transcendantale, dont nous découvrons des tentatives de réalisation dans la théorie de l'art du système de l'idéalisme transcendantal de Schelling et la théorie du langage de Humboldt.
- The transcendental deduction is both the most difficult part of the critique of the pure reason and lies at its very core. It was the main concern of Kant’s studies at the start of the century, notably in the works of Cohen, Adickes, Arnoldt, Vaihinger, de Vleeschauwer and Heidegger. This unprecedented interpretative effort led to an impasse in the thirties: it proved impossible to propound a unified interpretation of the transcendental deduction in both the 1781 and 1787 editions. Our endeavor is to resume this search where it was left off. Through the study of the interpretative antinomy between Cohen and Heidegger, we propose eliciting a logical unity in the demonstration of the deduction. As this approach implies the incompleteness of the deduction within the first critique, the problem of its completion becomes the key-question of our interpretation. We shall attempt to answer this question with a transcendental reading of the critique of the aesthetic judgment. Thus we can emphasize the strict parallelism of its structure with that of the 1781 subjective deduction. This leads up to an aporia in the Kant’s theory of genius. We then conclude with the idea of a possible solution to the problem of the completion of the transcendental deduction. Such an idea had already been sketched out in the theory of art in Schelling’s system of transcendental idealism and Humboldt’s theory of language.
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