| Attributes | Values |
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| Thesis advisor
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| Author
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| dc:subject
| - Thèses et écrits académiques
- Évaluation des résultats et des processus en soins de santé -- Dissertation universitaire
- Cathéters
- Cathéters -- Dissertation universitaire
- Soins hospitaliers -- Évaluation
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| preferred label
| - Evaluation de l’utilité des voies veineuses périphériques dans la structure des urgences adultes du CHU Dijon-Bourgogne
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| Language
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| Subject
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| dc:title
| - Evaluation de l’utilité des voies veineuses périphériques dans la structure des urgences adultes du CHU Dijon-Bourgogne
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| Degree granting institution
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| note
| - Introduction : les cathéters veineux périphériques sont des dispositifs médicaux très utilisés dans les Structures d'urgence adulte de manière générale. Il est à noter qu’il n’existe à ce jour, aucune recommandation validée par un comité d’expert concernant sa bonne prescription. C’est en effet une prescription médicale qui expose le patient à des effets secondaires et complications non négligeables. L'objectif principal de cette étude était d'évaluer l’utilité de la pose des cathéters veineux chez les patients de moins de 75 ans afin de limiter leur usage abusif. Matériels et Méthodes : il s'agit d'une étude observationnelle rétrospective monocentrique menée à partir des dossiers médicaux informatisés de 304 patients de moins de 75 ans admis dans la Structure des Urgences adultes du CHU Dijon-Bourgogne, du 01 au 31 janvier 2018. Le critère de jugement principal retenu était l'utilité de la voie veineuse périphérique (VVP) définie par l'absence d'alternative à l'utilisation de celle-ci. Résultats : sur les 304 patients analysés, 163 patients (54%) portaient une VVP jugée utile. Parmi les 141 (46 %) cathéters jugés inutiles, 84 (27 %) étaient inutilisés et 57 (19 %) avaient une alternative per os possible. Le médecin coordonnateur et d’orientation était responsable de la prescription de 74 % des cathéters non utilisés et de 10 % des cathéters avec alternative per os possible, soit un total de 49,6 % des prescriptions de cathéters jugées non utiles. L’ensemble des VVP ayant l’indication « si besoin » (n = 141 soit 46 %), étaient vouées à la non utilité de celle-ci. Conclusion : les résultats de ce travail sont en accord avec les autres études faites sur le sujet montrant qu’environ un cathéter sur deux pourrait être évité. La prescription de cathéter veineux périphérique doit donc être faite, en dehors d’indication évidente (traitement sans alternative PO ou injection de produit de contraste), après un examen clinique minutieux. Devant les tendances actuelles médico-financière d’un retour à l’équilibre des établissements de santé, cette étude préliminaire permet de montrer l’importance de réaliser plusieurs études afin de valider des indications précises quant à la prescription des VVP afin d’éviter leur sur-prescription.
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