Attributes | Values |
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Thesis advisor
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Author
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alternative label
| - Clinical description and phenotype/genotype correlation analysis in a cohort study of intellectual disability patients with a PAK3 mutation
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dc:subject
| - Thèses et écrits académiques
- Génotype
- Phénotype
- Déficience intellectuelle -- Génétique
- Chromosomes sexuels humains -- Aberrations chromosomiques
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preferred label
| - Description clinique et analyse de corrélation phénotype/génotype dans une cohorte de patients atteints d’une déficience intellectuelle liée à des mutations du gène PAK3
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Language
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Subject
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dc:title
| - Description clinique et analyse de corrélation phénotype/génotype dans une cohorte de patients atteints d’une déficience intellectuelle liée à des mutations du gène PAK3
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Degree granting institution
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note
| - Intellectual disability (ID) is a general public health concern. The prevalence of ID is estimated around 2 to 3% of the general population. Among males, X-linked ID (XLID) represents approximately 5 to 10% of cases. Currently, 146 genes are known to cause XLID. The first known pathogenic variant in the PAK3 (P21-Activated Kinase 3) gene was found by Allen et al. in 1998 in a XLID family. No particular clinical characteristics were found except for microcephaly and behavioral problems such as hyperactivity in childhood and heteroagressivity in adulthood. Our multicenter and retrospective study was designed to describe the clinical characteristics of patients with a PAK3 mutation, then to analyze the phenotype/genotype correlation of this condition. Ten patients were recruited in France and forty-five in the literature. We found a non-specific ID associated with hypotonia in 92% of the cases, a language delay in 91%, microcephaly in 46% and sharp reflexes in 32% of the cases. Behavioral problems, found in 97% patients, were the most frequent symptoms with auto and/or heteroagressivity in 58% of cases and psychosis in 26% of cases. There were no specific morphological features but, long ears were found in about 60% of the patients and a high and narrow palate was found in 71%. Finally, agenesis of the corpus callosum was found in about 42% of patients but only few of them had a brain MRI. A total of 14 patients from 4 different families had a null mutation and 40 patients from 12 families had a missense mutation. No significant phenotype/genotype correlation was found, notably the patients with a null mutation were not more severely affected than the others. Further studies with additional patients and more data on brain imaging would allow to evaluate the frequency of agenesis of the corpus callosum and to know whether it is associated with a particular type of mutations.
- La prévalence de la déficience intellectuelle (DI) est estimée entre 2 à 3% de la population générale. Chez les individus de sexe masculin 5 à 10% des DI seraient liées à l’X. On connait actuellement 146 gènes de DI sur le chromosome X. Le premier variant pathogène retrouvé dans le gène PAK3 (P21-Activated Kinase 3) est un variant faux-sens identifié par Allen et al. en 1998 dans une famille de patients atteints d’une DI liée à l’X. Les patients, décrits comme peu dysmorphiques, avaient une microcéphalie et des troubles du comportement, hyperactivité dans l’enfance et hétéroagressivité à l’âge adulte. Notre étude multicentrique rétrospective avait pour objectif de décrire les caractéristiques cliniques des patients ayant une mutation dans le gène PAK3 puis de faire une analyse de corrélation phénotype/génotype. Elle a porté sur dix patients recrutés en France et quarante-cinq patients de la littérature. Nous avons retrouvé une DI non spécifique associée à une hypotonie dans 92% des cas, un retard de langage dans 91%, une microcéphalie dans 46% et des réflexes vifs dans 32% des cas. Les troubles du comportement présents chez 97% des patients sont au-devant du tableau clinique avec une auto- ou une hétéroagressivité dans 58% des cas et une psychose dans 26% des cas. Sur le plan morphologique, il n’existe pas de caractères spécifiques, mais des oreilles longues sont retrouvées chez 60% des patients et un palais creux chez 71%. Enfin, une agénésie du corps calleux est retrouvée dans 42% des cas mais peu de patients ont eu une IRM cérébrale. Au total, 14 patients issus de 4 familles ont une mutation nulle et 40 patients issus de 12 familles ont une mutation faux-sens. Nous n’avons pas mis en évidence de corrélation génotype-phénotype significative, notamment les patients ayant une mutation nulle n’ont pas une atteinte clinique plus sévère que les autres. Une nouvelle étude avec un plus grand nombre de patients et davantage de données d’imagerie cérébrale serait intéressante pour évaluer la fréquence de l’agénésie du corps calleux et définir si elle est liée à certains types de mutations.
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