This doctoral dissertation aims to link the revolutions studies to those on digital social media and their role in the establishment of a new democratic system in the “Arab Spring countries”. The study offers a new reading of the revolutions so-called \"Facebook\", by highlighting the data impact and the algorithms of these networks in orienting public opinion during the uprisings of the Arab world, in 2011. Our contribution, coming from Smart-PLS, is based on a mainly quantitative analysis, the objective of which is to test a causal structure model that defines the processes of online protest during popular mobilizations in Tunisia, Egypt, Syria, Yemen and Libya
Cette thèse de doctorat vise à relier les études des révolutions 2.0 à celles sur les médias sociaux numériques et leur rôle dans la mise en place d’un nouveau système démocratique dans les pays du « Printemps arabe ». La recherche propose une nouvelle lecture des révolutions dites « Facebook », en mettant en avant l’impact des données et les algorithmes de ces réseaux dans l’orientation de l’opinion publique pendant les soulèvements du monde arabe en 2011. Notre contribution repose, à partir de Smart-PLS, sur une analyse principalement quantitative, dont l’objectif est de tester un modèle de structure causale qui définit les processus de protestation en ligne lors des mobilisations populaires en Tunisie, Egypte, Syrie, Yémen et Libye.
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