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| - The Iraq host great reserves of oil and gas but the majority of its 78 fields is producing from reservoirs related to structural type trap. Its real reserves are largely underestimated. The major part of Iraq is still insufficiently explored, the drilling are rarely penetrated deeper than the Lower Cretaceous, the Pre-Cretaceous reservoirs represent just 1% and the Western Desert, very attractive for the exploration of deep strata, is still untouched. This work, based on geophysical, geological and reservoir data demonstrate, for the first time, the existence in the Mesopotamian Basin of important concentration of reefal carbonate traps. These stratigraphic reservoirs are identified in more than twenty stratigraphic levels going from Permian to Miocene. The carbonate buildups were identified on the basis of well established seismic criteria and are successfully compared with reefs in many oil and gas producing reservoirs across the world. The geological data, based on sedimentary, climatic and morphologic criteria, confirm that the carbonate and evaporite constitute the dominant lithology in the Arabian Plate. These sediments are the main associated lithology for carbonate buildups. The structural and paleohydological data confirm the existence of optimum conditions for diagenetic processes leading to enhancement of petrophysical properties of the reefal reservoirs. The sedimentary data confirm the existence of the constructor organism, the optimum conditions for the deposition of mature source rocks in the deeper part of the basin and the existence of thick and impermeable seals with a tardive migration. The delineated optimum reefal setting is the platform margin, situated to the west of the Euphrates and covering the area joining the Mosul Height in the north and the Qatar Height in the south. This area is the site of new potential petroleum prospects in Permian, Upper and Middle Triassic, Lower, Middle and Upper Jurassic, Lower, Middle and Upper Cretaceous and in Paleocene, Eocene and Oligocene. The seismic data, through the delineation of several direct hydrocarbon indicators associated to many of the identified reefal reservoirs, highly indicate their petroleum potentialities.
- L’Irak possède des grandes réserves d’hydrocarbures, mais la majorité de ses 78champs du pétrole produisent des pièges de type structural. Ses réserves réelles sont sous estimés, car la grande majorité du pays est insuffisamment exploré, le forage a rarement pénétré au-delà du Crétacé Inferieure. Les réserves dans les ouches profondes ne représente que 1% et le Western Désert, tés attractive du point de vu pétrolier reste inexploré. Cette étude, basée sur des données géophysiques, géologiques et des réservoirs démontre et pour la première fois, l’existence d’une grande concentration des constructions récifales dans le Bassin Mésopotamien dans plus de vingt niveaux stratigraphiques. Ces constructions récifales ont été identifiées sur la base des critères sismiques bien établi. Puis sont comparées avec des réservoirs des facies récifaux dans différent champs du pétrole à travers le monde. Les données géologiques montrent l’existence des conditions structurales, climatiques morphologiques et sédimentaire favorables pour la croissance récifale dans le Bassin Mésopotamien durant la période du Permien au Miocène. Les données pale hydrologiques et tectoniques montrent également l’existence des conditions optimales pour avoir lieu des processus dia génétiques susceptible d’améliorer les propriétés petro physiques des réservoirs récifaux. Les données sédimentaires indiquent l’existence des dépositions des roches mère dans la partie profonde du bassin ainsi que l’existence des roches couverture épaisses et imperméables, formées dans leur grande majorité des évaporites. La migration, commencée au Crétacé Supérieur, a continué durant le Tertiaire et le Quaternaire, ce qui a rendu possible l’existence des réservoirs au Miocène. La zone optimale d’existence des réservoirs récifaux s’étend sur la marge de la Platform Arabique, à l’ouest de l’Euphrate, entre la paleostructure de Mosul dans le nord et la paleostructure de Qatar dans le sud du Plateau Arabique.
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