Étude monocentrique rétrospective menée au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Nice sur l’année 2017 ayant pour objectif d’étudier le taux de corrélation entre le diagnostic prénatal et le diagnostic finalement retenu en post-natal des malformations urogénitales. L’analyse a porté sur 71 cas suspects de malformation sur l’échographie anténatale et a montré un taux de corrélation de 85%. La détection précoce des anomalies urogénitales est primordiale afin de mettre en place des mesures de néphroprotection permettant d’éviter ou retarder l’évolution vers l’insuffisance rénale chronique.