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| Thesis advisor
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| Author
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| alternative label
| - Risks linked to endocrine disruptors present in cosmetics or hygiene products, particularly in pregnant women or women of childbearing age, what do general practitioners in Haute-Garonne know ?
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| dc:subject
| - Connaissances
- Formation médicale continue
- Cosmétiques
- Prévention
- Médecins généralistes
- Thèses et écrits académiques
- Connaissances, attitudes et pratiques en santé
- Femmes enceintes -- Santé et hygiène
- Perturbateurs endocriniens
- Risques sanitaires
- Exposition aux perturbateurs endocriniens -- Risques pour la santé
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| preferred label
| - Risques liés aux perturbateurs endocriniens présents dans les cosmétiques ou produits d'hygiène, notamment chez les femmes enceintes ou en âge de procréer, que savent les médecins généralistes de la Haute-Garonne ?
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| Language
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| Subject
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| - Risques liés aux perturbateurs endocriniens présents dans les cosmétiques ou produits d'hygiène, notamment chez les femmes enceintes ou en âge de procréer, que savent les médecins généralistes de la Haute-Garonne ?
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| Degree granting institution
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| note
| - Introduction : les perturbateurs endocriniens sont des substances ubiquitaires pouvant interférer avec le système endocrinien et induire des effets nocifs sur la santé, notamment pendant la grossesse et les 1000 premiers jours de vie. C'est un problème de santé publique. Les MG ont un rôle privilégié de prévention et d'information à jouer auprès de leurs patients. Objectif : évaluer la connaissance des MG de la Haute-Garonne sur les risques liés aux perturbateurs endocriniens présents dans les cosmétiques ou produits d'hygiène, en particulier chez les femmes enceintes ou en âge de procréer. Matériel et méthode : étude quantitative descriptive réalisée de septembre 2023 à janvier 2024 auprès des MG âgés de 25 ans ou plus dans le département de la Haute-Garonne, via un questionnaire numérique. Un score de notation a été calculé avec un total de 38 points. Résultats : sur 430 mails envoyés, 103 questionnaires ont été inclus. Notre échantillon était majoritairement des femmes et âgé de 25 à 44 ans. Plus de la moitié des MG ont bien répondu aux questions de connaissances avec un score total moyen de 26,7/38. Il semblerait que les femmes MG âgées de 25 à 44 ans aient mieux répondu à certaines questions. Pour leur pratique, 70% des MG favoriseraient l'utilisation d'une fiche d'information à commenter. Conclusion : si les connaissances de notre échantillon sont majoritairement bonnes, les pratiques courantes de prévention et d'information en consultation sembleraient encore insuffisantes. Pour parfaire l'information de la population générale, il faut poursuivre la formation continue des MG et inclure dans la formation initiale des étudiants en médecine le sujet des perturbateurs endocriniens. Des outils pratiques sont disponibles pour soutenir le médecin dans la prévention en consultation. D'autres études sont nécessaires pour évaluer et déterminer les freins à la prévention en pratique.
- Introduction: endocrine disruptors are ubiquitous substances that can interfere with the endocrine system and induce harmful effects on health, particularly during pregnancy and the first 1000 days of life. This is a public health problem. GPs have a privileged prevention and information role to play with their patients. Objective: to assess the knowledge of GPs in Haute-Garonne on the risks linked to endocrine disruptors present in cosmetics or hygiene products, particularly among pregnant women or women of childbearing age. Material and method: descriptive quantitative study carried out from September 2023 to January 2024 among GPs aged 25 or over in the Haute-Garonne department, via a digital questionnaire. A rating score was calculated with a total of 38 points. Results: out of 430 emails sent, 103 questionnaires were included. Our sample was predominantly female and aged 25 to 44 years. More than half of the GPs answered the knowledge questions correctly with an average total score of 26.7/38. It seems that GP women aged 25 to 44 answered certain questions better. For their practice, 70% of GPs would favor the use of an information sheet to comment on. Conclusion: if the knowledge in our sample is mostly good, current practices of prevention and information in consultation still seem insufficient. To improve the information of the general population, it is necessary to continue the continuing education of GPs and include the subject of endocrine disruptors in the initial training of medical students. Practical tools are available to support the doctor in prevention during consultation. Other studies are necessary to evaluate and determine the obstacles to prevention in practice.
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