"Assistants dentaires" . . "Text" . . "2015" . "Th\u00E8ses et \u00E9crits acad\u00E9miques" . . . "La profession d'hygi\u00E9niste dentaire est relativement jeune, apparue dans le d\u00E9but du XX\u00E8me si\u00E8cle outre-atlantique, elle a su trouver sa place dans de nombreux pays. Les comp\u00E9tences des hygi\u00E9nistes, ax\u00E9es sur la pr\u00E9vention, leur conf\u00E8rent une place privil\u00E9gi\u00E9e sur les plans d'action de sant\u00E9 publique (action sur le tabagisme, l'\u00E9thylisme, pr\u00E9vention d'apparition des cancers, suivi des patients dits \u00AB\u00A0\u00E0 risque\u00A0\u00BB) avec des r\u00E9sultats convaincants. N\u00E9anmoins, en France, cette profession n'est toujours pas reconnue. Malgr\u00E9 des d\u00E9ficiences point\u00E9es du doigt sur la pr\u00E9vention primaire selon plusieurs rapports gouvernementaux, les acteurs principaux restent sceptiques vis \u00E0 vis d'une d\u00E9l\u00E9gation des t\u00E2ches envers les assistantes dentaires. Les raisons de ce refus sont multiples\u00A0: perte de la prise en charge globale du patient par le dentiste, peur d'une concurrence entre les deux professions, ou bien la difficult\u00E9 \u00E9conomique d'employer ces assistantes \u00AB\u00A0sp\u00E9cialis\u00E9es\u00A0\u00BB. Devant ce constat, l'\u00C9tat fran\u00E7ais, \u00E0 ce jour n'a pas pris de d\u00E9cisions claires, et on ne voit pas encore poindre de pr\u00E9mices d'une \u00E9volution du statut des assistantes dentaires dans les ann\u00E9es \u00E0 venir, malgr\u00E9 leur inscription r\u00E9cente au Code de Sant\u00E9 Publique." . . . . . "Hygi\u00E9nistes dentaires -- Dissertation universitaire" . . "D\u00E9l\u00E9gation professionnelle -- Dissertation universitaire" . . . "Bouche -- Soins et hygi\u00E8ne" . . "La d\u00E9l\u00E9gation des t\u00E2ches dans le domaine des soins dentaires, \u00E9tat des lieux dans le monde et perspectives en France" . . "La d\u00E9l\u00E9gation des t\u00E2ches dans le domaine des soins dentaires, \u00E9tat des lieux dans le monde et perspectives en France" . . .