"Groupes d\u2019opposition" . "Groupes minoritaires" . "R\u00E9gimes repr\u00E9sentatifs" . . . "Parlement" . "Text" . "Minorit\u00E9s parlementaires" . . . . "Groupes parlementaires" . "Parliamentary minorities under the Fifth Republic" . . "Proc\u00E9dure parlementaire" . "Contr\u00F4le parlementaire" . . . . "Repr\u00E9sentation politique" . . . . "Les minorit\u00E9s parlementaires sous la Ve R\u00E9publique" . . "The Fifth Republic in 1958 built its institutional and functional equilibriums in reaction to the previous Republics. It first rejected the positive value that is conflict for a democracy. With the emergence of the \u201Cfait majoritaire\u201D in 1962, the majority evolved from a quantitative notion to an institutional notion. It became a structure of homogenous decision making devoted to the Government. Thought on the balance of powers was then renewed. While the so-called modern theory of separation of powers suggests that the criterion for a modern democracy is the check on Government action by the opposition, we propose a different analysis: the balance of powers lies in the function of contradiction assumed by the parliamentary minorities. This role of counter-power combines a negative dimension of limitation of power, the opposition function, and a positive dimension of added value to political decision making, the legislative complementary function. This thesis offers a new perspective on the decision making process in a pluralist democracy." . . . . . . . . . . "Les minorit\u00E9s parlementaires sous la Cinqui\u00E8me R\u00E9publique" . "2013" . "Les minorit\u00E9s parlementaires sous la Cinqui\u00E8me R\u00E9publique" . "Proc\u00E9dure l\u00E9gislative" . "\u00C9quilibre des pouvoirs" . "Parlementaires non inscrits" . "Minorit\u00E9s de la majorit\u00E9" . "Th\u00E8ses et \u00E9crits acad\u00E9miques" . "Minorit\u00E9s -- Politique publique" . "En 1958, la Cinqui\u00E8me R\u00E9publique construit ses \u00E9quilibres institutionnel et fonctionnel en r\u00E9action aux dysfonctionnements des R\u00E9publiques pr\u00E9c\u00E9dentes. Partie \u00E0 la d\u00E9couverte de la majorit\u00E9, elle va d\u2019abord rejeter la valeur positive que constitue, pour la d\u00E9mocratie, le conflit politique. Avec l\u2019apparition du fait majoritaire en 1962, la majorit\u00E9 va muer d\u2019une logique arithm\u00E9tique vers une logique institutionnelle pour devenir une structure de d\u00E9cision homog\u00E8ne d\u00E9vou\u00E9e au Gouvernement. La r\u00E9flexion sur l\u2019\u00E9quilibre des pouvoirs va alors se renouveler. Alors que la th\u00E9orie dite moderne de la s\u00E9paration des pouvoirs propose de faire du contr\u00F4le de l\u2019action du Gouvernement par l\u2019opposition, le crit\u00E8re de la d\u00E9mocratie moderne, nous proposons une analyse diff\u00E9rente : l\u2019\u00E9quilibre des pouvoirs repose sur la fonction de contradiction exerc\u00E9e par les minorit\u00E9s parlementaires. Cette fonction de contre pouvoir combine alors une dimension n\u00E9gative de limite du pouvoir, la fonction d\u2019opposition, et une dimension positive de valeur ajout\u00E9e de la d\u00E9cision politique, la fonction de compl\u00E9mentarit\u00E9 l\u00E9gislative. La th\u00E8se propose ainsi un renouvellement de la r\u00E9flexion sur le processus de prise de d\u00E9cision dans une d\u00E9mocratie pluraliste." . . "France. Parlement" . "Pluralisme politique" . .