"Th\u00E8ses et \u00E9crits acad\u00E9miques" . . . "Infections -- Chez le nouveau-n\u00E9 -- Pr\u00E9vention -- FranceCentre hospitalo-universitaire -- Chez le nouveau-n\u00E9 -- Pr\u00E9vention -- France" . . . "Maladies bact\u00E9riennes" . "Bact\u00E9ri\u00E9mie -- Chez l'enfant -- Pr\u00E9vention -- FranceCentre hospitalo-universitaire -- Chez l'enfant -- Pr\u00E9vention -- France" . . . . . . . . "Cath\u00E9ters" . . . . "Malgr\u00E9 les progr\u00E8s consid\u00E9rables r\u00E9alis\u00E9s en n\u00E9onatalogie, la p\u00E9riode n\u00E9onatale reste associ\u00E9e \u00E0 une morbidit\u00E9 et une mortalit\u00E9 importante. Les pr\u00E9matur\u00E9s n\u00E9cessitent une prise en charge invasive les exposant \u00E0 diverses sources pathog\u00E8nes au sein de l'environnement hospitalier. Il en r\u00E9sulte une augmentation du risque d'infection nosocomiale. Or, les effets d\u00E9l\u00E9t\u00E8res de l'antibioth\u00E9rapie ne concernent plus uniquement l'\u00E9mergence de mutations r\u00E9sistantes et l'alt\u00E9ration du microbiote intestinal, mais aussi des pathologies non infectieuses tout aussi pr\u00E9occupantes tels des d\u00E9ficits du syst\u00E8me immunitaire ou encore la survenue d'allergies. Nous avons r\u00E9alis\u00E9 une \u00E9tude \u00E9pid\u00E9miologique au CHU de Rouen afin d'analyser l'incidence des infections nosocomiales bact\u00E9riennes et notre prise en charge. Notre \u00E9tude est descriptive, monocentrique et r\u00E9trospective concernant les pr\u00E9matur\u00E9s de moins de 33 semaines d'am\u00E9norrh\u00E9e n\u00E9s en 2015. Le taux d'infections nosocomiales bact\u00E9riennes est de 29,2%. Nous avons majoritairement des infections \u00E0 type de septic\u00E9mie et des infections sur cath\u00E9ter. Contrairement \u00E0 la litt\u00E9rature, les infections sur cath\u00E9ter sont majoritairement li\u00E9es aux cath\u00E9ters veineux ombilicaux (CVO), avec une incidence de 6,7% et une densit\u00E9 d'incidence de 13,4 pour 1000 jours cath\u00E9ters. Les principaux germes sont des staphylocoques \u00E0 coagulase n\u00E9gative, notamment pour les infections sur proth\u00E8ses m\u00E9dicales o\u00F9 ils sont responsables de 82% des infections. Ainsi l'antibiotique le plus utilis\u00E9 reste la vancomycine. Notre incidence des infections nosocomiales bact\u00E9riennes reste stable depuis 10 ans et comparable \u00E0 la litt\u00E9rature. Le taux d'infection sur CVO nous incite \u00E0 \u00EAtre vigilent lors de la pose et de discuter une ablation plus rapide. Il reste primordial de faire de la pr\u00E9vention un point culminant de nos pratiques quotidiennes au sein de notre service." . "Infections nosocomiales" . "Pr\u00E9matur\u00E9s -- Maladies" . . . . "2018" . . "\u00C9tude \u00E9pid\u00E9miologique des infections nosocomiales chez les grands pr\u00E9matur\u00E9s de moins de 33 semaines d'am\u00E9norrh\u00E9e, n\u00E9s en 2015 au CHU de Rouen" . "Antibioth\u00E9rapie en p\u00E9diatrie" . "Text" . . . "\u00C9tude \u00E9pid\u00E9miologique des infections nosocomiales chez les grands pr\u00E9matur\u00E9s de moins de 33 semaines d'am\u00E9norrh\u00E9e, n\u00E9s en 2015 au CHU de Rouen" . . . .